La pensée du cancre:

     Freud dirait qu'il s'agit d'une névrose refoulée qui l'a poussé à faire çà, cependant j'en doute. En fait je pense qu'il n'avait aucune envie de suicide mais qu'il était simplement un peu totalement pété et qu'il a réussit à tomber du pônt neuf (Garonne Toulouse). par chance clement n'a pas heurté les piliés mais a voler à la rencontre de l'eau salvatrice. le temps de réaliser et nous courions vers les berges, je ne me souvient même pas qu'il eu tenté de nager. Enfin tout et bien qui fini bien : une peniche, non, plutôt un bateu qui est en quelque sorte à quai dans le coin est allé le repêcher et nous l'a rendu. comme il était pas tout propre propre on est aller laver nos vêtements, sans même prendre le soin de les enlever, dans l'eau claire de la fontaine Wilson. Remercions les CRS qui se sont contenté de nous virer de là sans prendre de prise de sang ou autre réjouissance. Ce qui me fait rire en sourdine c'est ma mère, quand je suis rentré le lendemain midi: qui me fait remarquer que je doit bucher parce que la bac c'est dans moins d'un moi; pfou, trop dur, je ne sais même plus ce que bosser veut dire!!!

     Enfin bilan de la soiré, la plus amusante de ces derniers mois : je boite depuis que je suis tomber pour aller sur les quais recuperer clement, marc a laisser son sweet pendu a  la statue de "Goudouli" (place wilson) et enfin on a vider les reserves d'ethanol qui nous rester de la semaine derniere (et il en restait pas mal) mais bon, un eclat de rire vaut bien tou çà!

Durant les vacances j'ai reçu, en pleine gueule, un coup de telephone de Mylène.
Après les banalités d'usage: "Tu sais, Jérémie,..." et là, rapide comme l'éclair qui me pendait déja au nez je lui coupe l'herbe sous le pied: "Je viendrais pas ce week-end, je crois que çà marche plus trop fort entre nous depuis quelques temps..." elle:-"ah ben c'était justement ce que je voulais te dire (sans dec?!?)..." s'en suit les banalités d'adieu. Et voila comment un magnes préserve sa dignité.
donc voila nous avons cassé il y a plus de trois semaines, joyeuses fêtes: rupture à la bricolage genre coupure couteau suisse.
Sinon rien de neuf...ducoup je me suis remis à l'humour à la fernendel, comprenne qui pourra, et ils seront rares.
Et n'oubliez pas les dictons du jou:
-poule à une couille, source d'embrouilles.
et : -Pet retenu, furoncle au cul.

en relisant mon post précédant j'ai repenser à eux, john et badu. les deux cousins qu'ont leur palais place st michel et sous le pont d'empalot. ils ont pas eux la vie facile ces deux sdf. surtout que si y se sont retrouvé sdf c'est pas par hasard mais bien à cause du fisc. Surement des braves types qui dans d'autre cierconstences auraient étés des salariés moyens locataires et ptêt même proprio! bon père et bon mari, s'il en est.

mais non et tous les jours nous passons près d'eux sans les voir escorté par nos bonnes consciences de types intégré à l'idéologie imposée. quand je les rencontre que leur dire sinon les écouter et quand la soirée se finie, quand la bouteille est bue me voila chassant les images de leur pont de solitude, image éthilique de rêveurs désenchantés. nous oublions leur matelat de cartons pour nous fourrer dans un bon lit chaud. puis nous nous endormons sous la couette.

on se dit souvent qu'on ne peut rien faire pour eux, ou alors qu'on à déja donné. on essaie de se cacher toute cette misère. que pouvons nous faire? donner! c'est vôtre affaire. participer à une association active sur le terrain? voila un truc efficace mais il est peu de gens qui le font, et je fais partie des gens qui ne le font pas.

il faut pourtant penser que si on avait vecu leur vie dans les conditions où ils l'ont vecue nous en serions au même point, car tout sdf qu'il soit et tout propre et blanc que nous soyons, nous sommes les mêmes humains. Ainsi si un de ces quatre matins vous avez l'impression qu'on vous parle depuis un banc, regarder cette personne en face payez lui un café et écoutez la parler nul doute que ça lui fera du bien, et cela peut vous faire réflechir.

c'est bizare mais il faut bien le dire, désormé on parle de john et de badu sur internet!

Je veux finir ma vie avant que d'être vieillard
je veux finir ma vie sans savoir ce qu'il advient
je veux finir entre une queue de billard
et la queue de mon chien

je veux finir entre des culs de filles
et le cul d'une bouteille
je veux finir entre un sourire de Lune
et les sourires des amis

je veux finir ma vie là où l'amour à commencé
je veux finir dans tes bras.

on va mettre çà sur le compte de la fatigue, ou alors on dira que c'est les vacances qui me developpent la fibre poètique. même pas çà rime de toutes les façons!

sinon hier soir le repas de classe c'était plustôt cool.enfin surtout l'heure de la pizza! et c'est vrai que j'avais rarement vue un gars totalement décabané se prendre pour le père noël et vouloir enc.ler ses rênes en plein resto italien. Sans ça encore un magnifique exemple de la connerie des Ts bourés, gâcher une soirée cool pour une histoire de cul à deux balles. Que la honte les etouffe!! mais cela ne me concerne malheureusement pas!
je tient à remercier de nouveau yannick, en effet si celui-ci ne m'avait hebergé j'aurais était bon pour encore coucher sous un pônt avec John et Badu, deux SDF, des compagnons de  goulots. des braves types qui ne dessoulles le matin que pour mieu attendre leur rouge du matin. j'espère qu'il ne passeront pas tout l'hiver dehors, les Cousins.
Enfin bref l'essencil est là: finalement nous voilà en vacances, et que faire? peut-être dormir! c'est une idée fixe décidément.

j'adore ma vie le dimanche soir! se tenir au courant des devoirs que j'aurait pas fais pour demain, faire le sac et puis attendre, attendre le sommeil, attendre le lundi jour du renouveau jour ou tout recommebce, les cours les profs l'ennui! finalement qu'est-ce que la vie? On s'emmerde toute la semaine en espèrant le week-end. et puis voila le week-end arrive et nous sommes trop fatigués pour en profiter: dormir! dormir jusqu'à midi puis manger une bricole, et meublé le temps pndant l'après-midi, envoyer des baballe au loin, puis avachi devant la télé ou oublié dans un bouquin. enfin dire des banalité à milène et à ses daron à travers un portable. puis faire un billard avec charles et fabrice, les derniers potes qui'existent, enfin squatter le PC et jouer aux cartes, jusqu'au lendemain. finalement on dort 5 heures, juste assez pour être crevé tout le dimanche.    Seul et déja on commence à se préparer mentalement au lundi, devoir cartable et peigne. enfin voila on attends lundi et on s'ennui.

finalement la vie est un assassinat: on tue le temps. on se crée des souvenirs bidons pour ne pas avoir l'impression d'avoir perdu nos vies, et on se félicite de ne pas se souvenir de tout ces moment d'ennuie.

la vrai questions ce n'est pas que suis-je, d'où viens-je, où vais-je? mais comment vais-je m'en tirer?

bon j'me prends grave la tête là, j'vais plutôt tuer mon temps sur un site de boules lol !o! lol

quoi qui faut pas abuser!!!

japd japd journée d'appel préparation à la défence ou comment se faire chier alors qu'on est entrain de secher les cours.
c'est long long trop long, d'autant plus que moi et les militaires ça a jamais été trop ça, m'enfin, obligé de mettre le discman à fond pour plus entendre leur truc des méfés de le drogue ...ect qu'on connait déja.
et alors toujours aussi malin, debut de journée: papier à remplir avec les etudes qu'on fait et les diplome obtenus. pis dix minutes plus tard test pour si on sait lire? bon ben j'ai le BEPC j'suis en terminale S avec 10 et 14 au français du bac mais j'ais pas lire!!! désolé de le dire mais moi j'appel;le ça de la connerie, une dépense de temps et de fric pour rien, enfin si ça peut fournir du boulot à quelques-uns.
après repas, prenez une classe mixte de 50 types et vous ferez une ambiance d'enfer, l'enfer du silence, sinon rien à dire, je m'fé limite chier. sinon la vie est belle trous ça y fait beau, j'ai la bite en fleur, j'ai pas prit son numero de téléphone a cette gourde, on a bouffé de la tarte au concombre, mais c'est pas grave j'suis venu en scooter, j'attends dans vingt ans pour voir des avions dans les couloirs du metro et jonhny halliday en cage a medrano, fait il beau sous les tropiques ma Cannele. Les hommes naissent libre et egaux. et après ils se demerdent, j'avait envie de dire ça. sans oublier que le jour du jugement dernier , dieu comparaitra devant moi.

sans ça le week-end se termine, j'ai fait tout ce que j'avais à faire: rien!!! j'en ai d'ailleur profité pour regarder un peu ce joueb.com et tenter d'ameliorer un peu cette page pour la rendre plus...  enfin moins...  enfin différente quoi!!!

un bon coup de gueule sur la famille.

marre de voir mon oncle, abrutit d'extrème droite qui donne son avis sur tout et qui prétends me donner des leçons d'adulte alors qui se fait virer par toutes ses femmes  et lui même tellemend adulte que c'est ma grand mère de 75 ans qui doit lui faire ses papiers. marre de prendre des baffes par ce grand con parcequ'on pense pas pareil, et qui fait 1m90 pour 100 kilos, alors ma mère me dis de me taire: de m'assoir sur mes idéaux et de ne plus être un homme. marre de le voir ce squatteur faire chier le monde et de m'ententdre dire que je doit prendre sur moi? je suis plus chez moi ou quoi!!! marre de le voir faire chier ma grand mère toute angoissée, qui ne mange rien le midi et qui n'a pas faim le soir parcequ'elle avait trop manger, seule dans sa cuisine penser à des tas de trucs: mon grand père qui nous a quitter, ma tante, qui ne vient plus la voir parcequelle se croit d'une grande classe.marre de voir ma pauvre mère dans tous ce bordel, j'ose même plus lui parler de mes problemes tellemends elle est obligée quand elle revient de son boulot de nuit de régler les problêmes de tout le monde. je ne peu plus supporter de m'entendre dire que je n'ai pas l'esprit de famille envers tante et oncle. alors qu'une nous a laisser tomber et que l'autre a renier mon bon grand père en racontant à l'une de ses maîtresse qu'on étaient des immigrés espagnols (mon grand père était belge, presque tous le monde dans la famille a des yeux clairs et des cheuveux blonds, ça fait pas espagnol). marre de la famille de feu mon père qui me considère comme une sous-merde, ou qui ne me consdère pas du tout. marre de voir ma mère seule, toute seule en face de tout ce monde. marre de m'entendre raccrocher au nez par mes amis. marre des histoires de culs infructueuses, marre des amours impossibles, marre de cette fille que je dois préserver de mes copains ou n'est-ce pas le contraire.marre de parler avec les ombres de mes rêves, marre de vivre dans un cauchemar de solitude. marre de cette chambre en bordel sous les tôits et tellement basse que même snoopie ne pourrait s'y pendre. marre.marre!mare...

pourquoi tout ce silence. eh bien il faut dire que j'ai pas une minute à moi ces dernier temps, et puis même j'ai acquis le jeux: pirate des caraïbes, et je n'en décolle plus, malgrès ce qu'on peut en dire on y retrouve tout seadogs, et le gameplay n'est pas si horrible qu'on le dit: si j'ai pus m'en sortir sans le manuel... enfin bref, un bon jeux.

 sinon quoi de neuf? pas grand chose avec une bonne petite nuit blanche improvisée avec charles samedi dernier. après une heure et quelque de billard, rapatriement chez moi (à la campagne) et proget de faire un feu penard au bord de l'ariège, prise de bouffe et de boissons. 00h comment faire partir un feu avec deux allumettes au bord d'un afluent venté...

 on se dirige vers un lieu tranquille et éclairer du village: le centre commercial. et ce n'est pas peu dire que parler de tranquillité puisque on s'est calé sous le porche du véto, dans la partie la plus reculée du centre commercial, entre le garage et la crèche.nous tapons le carton, nous n'avons pas soif. 3h30, qu'est-ce donc les amis qui tourne au coin? oh surprise une clio de la gendarmerie.

 "Gendarme-qu'est-ce que vous faites là Moi-on se balade. Gend-à cette heure ci?!?" c'est vrai qu'on a pas l'air chelou, deux types à trois heure et demi du matin derriere un centre commercial!! enfin bon il prenent nos nom et addresses, et bonne soirée. 3h40, voila ti pas qu'arrive une camionette de la gendarmerie, appel de phare. je me dis c'est pas possible y-z'ont appelé la camionette pour nous embarquer.

"Gendarme- qu'est-ce que vous faites là?

 Charles- on picke-nique m'sieu.

 Moi(approchant du même gendarme)- est-ce vous le maître des clefts(ce regard du gars), je suis le cérbère de la porte.

 Gend- noms et prenoms

 Moi- magnes Jem, mais c'est à dire que nous les avons déja donné à vous collègue...(j'ai l'impression qu'il cherche à sentir nôtre halène.pour une fois qu'on avait rien bu!)

 Gend- alors c'est d'accord, passez une bonne soiré.

 nous avons réussis à retenir le fou rire jusqu'à ce qu'il tourne au coin. merci à ces messieurs les gendarmes qui, sans façon, nous ont montré une image plutôt sympatique et tranquille de leur professions, toutefois dans d'autres circonstences peut-être n'en aurait-il pas était de même... Après avoir attendu desespèrement la troisième patrouillenous sommes rentrer en nous disant, que deux fois controlé en moins de dix minutes, ce ne serait pas tous les jours, mais qui sait...

demain peut-être elle me regardera, je lui parlerais moi et mes yeux vert. elle m'aimera et notre bonheur illuminera le monde.

nous passerons parmis vous, parmis les femmes et parmis les hommes, des fleurs s'eveilleront derières nos pas et les uns embrasseront les autres.

le monde sera merveilleux et peuplé de monstres, de pirates et de princesses comme au temps de mon enfance, et la vie ne sera que béatitudes.

la vie sera sinonyme de bonheur et d'harmonie, les paysages grandiront en villes et des roses fleuriront les déserts tandis que les battements de nos deux coeurs berce la terre.

ensembles nous nous endormiront, et tous ensemble nous feront un rêve.

mais le lendemain, les montres, puissance, pouvoir et sexe, envahiront ce joli monde, et la dernière trompette sonnera le début le la bataille. violence et mort, violence et mort.

et chacun fuira, laissant son âme, sa soeur pour survivre, et parfois durant son desespoir il repartira dans un monde de rêve, un monde de peut-être...

ou plutôt je n'ai pu vous le raconter puisque j'arriver pas pu à accéder a ma page d'acceuil hier soir, ainsi le message qui suit aurait du être posté hier, mais cela ne change rien.

Question à cent mille dollard : ou ais-je écrit le post précédent?...et ou ais-je passé la nuit?

jocker?       mais oui biensûr chez les darons à milene, ah ah ah...

c'est la deuxième fois que je pionce là-bas. et j'avait rarement eu l'air aussi con!!!

Allez j'vous raconte, la derniére fois j'avais pioncé dans la chambre d'amis, normal vu le daron et vu que j'ai que 17 ans,moi!!! enfin bon 00h environ: les jeunes squate la télé, moi milene et le fréro qui parle pas beaucoup. paranoia ou non: je sens le daron qui m'espionne de derriere la porte entrebaillée:

"milene: (décroche un peu de la télé pour me dire) tu devrais aller te coucher, t'as cours demain (sourire narquoi, elle elle fait le pont (de toute façons c'est une branl...une feignante qui seiche la moitier des cours))

-moi:(lachant ma grande phrase) pour dormir tout seul j'ai bien le temps(elle me regarde),(j'attends cinq minutes) allé tchao.(puis j'vais dans ma chambre sans oublier de saluer le daron en passant devant la cuisine lequel fait van j'me sert unverre de lait(à minuit passée)).

dix minutes plus tard, (ma porte s'ouvre et un éclair de lumière illumine la pièce, "j'aurais été entrain de me branler c'était pareil") milene:- je viendrais t'appeler quand mon père ronflera

n'ais-je pas réver, non! j'attend, et le temps passe lentement, à une allure folle, ça y est le daron ronfle, 30 secondes plus tard: milene:"bouge pas, y pourrons moins nous entendre ici.(sur le coup je me demende qu'est-ce qui pourrait entendre... vu les ronflement du père en tous-cas)

je vous passe les bécotage et autre qui suis, milene:(elle rit)-

"t'as pas une capote?"

mais qu'est-ce que j'ai put foutre de mon jean, ça y est: la poche, le porte-feuille, mais quel est le trou du cul qui m'a piquer cette capote moi:-"ben non (l'air con mais ce n'est que le début)

milene:-va en demender à mon frère"

vous auriez du me voir rassemblant trois affaire et sortant avec un sweet en pagne dans le corridor, l'air con!!! le frère affalé devant les pubs ne pas m'a vu."moi:- Marc, t'as pas une capote ste plait?". Y me regarde bizare, enlève les ecouteurs. moi:"- humhum, t'as pas une capote ste plaît?" y me regarde de haut en bas pendant deux minutes facile!, puis il sourit et se dirige vers sa chambre, il en ressort et me tend  un préservatif il veut dire qqchose qui ne sort pas et me dit finalement merde en souriant j'esquisse un sourire et un "merci bien", et me revoila dans le couloir, le daron pionce toujours.                 j'avait rarement eu autant l'air con, en fin de compte plutôt cool le frère.

de retour dans la chambre c'était plus trop ça, il a fallu bien 1/4 d'heure pour que ça nous reprene et là... ...

finelement j'ai eu l'air bien con mais ça valait grave le coup.

Mot de passe oublié ?