Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

La pensée du cancre:

  Ecrire un article

Lundi (17/05/04)

La Baignade...
--> ...dans la Garonne

     Freud dirait qu'il s'agit d'une névrose refoulée qui l'a poussé à faire çà, cependant j'en doute. En fait je pense qu'il n'avait aucune envie de suicide mais qu'il était simplement un peu totalement pété et qu'il a réussit à tomber du pônt neuf (Garonne Toulouse). par chance clement n'a pas heurté les piliés mais a voler à la rencontre de l'eau salvatrice. le temps de réaliser et nous courions vers les berges, je ne me souvient même pas qu'il eu tenté de nager. Enfin tout et bien qui fini bien : une peniche, non, plutôt un bateu qui est en quelque sorte à quai dans le coin est allé le repêcher et nous l'a rendu. comme il était pas tout propre propre on est aller laver nos vêtements, sans même prendre le soin de les enlever, dans l'eau claire de la fontaine Wilson. Remercions les CRS qui se sont contenté de nous virer de là sans prendre de prise de sang ou autre réjouissance. Ce qui me fait rire en sourdine c'est ma mère, quand je suis rentré le lendemain midi: qui me fait remarquer que je doit bucher parce que la bac c'est dans moins d'un moi; pfou, trop dur, je ne sais même plus ce que bosser veut dire!!!

     Enfin bilan de la soiré, la plus amusante de ces derniers mois : je boite depuis que je suis tomber pour aller sur les quais recuperer clement, marc a laisser son sweet pendu a  la statue de "Goudouli" (place wilson) et enfin on a vider les reserves d'ethanol qui nous rester de la semaine derniere (et il en restait pas mal) mais bon, un eclat de rire vaut bien tou çà!

Lire l'article ! (suite de l'article + 1 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 21:05 dans la rubrique "VRACodrome".


Vendredi (30/04/04)

Sur l'eau : le reflet de la Lune...
--> ...Dans l'eau : ...

          Nous avions tout juste seize ans et nous étions une petite bande de garçons toujours fourrés ensemble. Nous aimions à nous promener dans la nuit de mon village de Lacroix-Falgarde. Nôtre plus grand plaisir était de nous réunir autour d’un feu de bois. Nous nous installions sur les berges de l’Ariège, qui coule un peu à l’extérieur du village.

Nous étions cinq ce soir là, Luc, Fabrice, Guillaume, Yves et moi. Nous étions allés chercher des bûches chez le châtelain du coin, puis nous amorcèrent nôtre foyer à l’aide de brindilles, cartons, restes de journaux. Arrosés d’un rien d’essence.

Une foi le chauffage central assuré, les discussions s’engagèrent : politique, grand banditisme ; argent et filles.

La Lune éclairait le paysage en se reflétant dans l’eau excitée de l’Ariège, c’était la fonte des neiges.

Les flammes crépitantes illuminaient nos visages et projetaient des ombres mouvantes sur les mûrs d’ombres, jusqu’au rivage opposé, par delà les tourbillons.

L’eau défilait, délirante et vibrante.

Le vent frais agitait les feuilles. Les fortes rafales sonnaient comme des cascades aériennes insensées.

De rares guimbardes traversaient à pleine vitesse le pont situé en amont. Chacun de ses passages produisait un bruit de tonnerre.

Yves et guillaume s’endormirent, bercés par l’Ariège.

Il était près de minuit quand la musicalité des eaux changea, leur symphonie naturelle indéfinie se mua en une mélodie étrange et silencieuse. Intrigués, nous laissâmes aller nos regards sur l’onde sombre. Nous n’en crûmes pas nos yeux, nôtre surprise éveilla les dormeurs et nous fûmes cinq à voir cela.

A quelques mètres de la berges trois personnes, étaient visibles, seules leur têtes étaient pour l’instant émergées mais ils se rapprochaient de la rive, et leur buste étaient maintenant visibles. Ils traversaient le courent, semblant marcher sur le fond du cours d’eau. Finalement, deux jeunes gens d’environ dix-sept ans et une femme plus âgée passèrent près de nous en nous saluant de la tête. La jeune fille, une beauté brune, souriait magnifiquement, le jeune homme, lui tenait la main. Il était châtain et de bonne constitution. Le couple paraissait très heureux. La femme se tenait en retrait, elle avait des cheveux mi-longs bouclés et marchait d’un pas nerveux comme pour rattraper ses prédécesseurs.

Nous restâmes abasourdis. Aurions-nous put avoir tous la même hallucination ? Non, ils étaient bien réels.

Aucun de nous ne les avait vue nager. D’accord la nuit était sombre, mais nager en pleine nuit ? En cette période de fonte des neiges ? Et puis, quelques soit l’heure et les courants, on ne fait pas trempette sans quitter ses vêtements.

Cet épisode obsédait mes pensées ainsi que, je le crois celle de mes compagnons cependant nous n’en parlâmes pas. Il semblait y avoir autour de cet bizarrerie une règle du silence entendue entre nous, discuter de cet événement décalé n’aurait fait qu’augmenter le mystère qui l’entourait et aucun de nous n’y tenait. La Lune poursuivait calmement son parcours parmi les étoiles, nous somnolions tranquillement sous son regard serein et bienveillant. Le feu déclinait.

Nous fûmes éveillés par le chant du coq mais un simple coup d’oeil à la position des astres nous apprit que l’on était encore à quelques heures de l’aube claire. La pleine Lune me souriait de façon inquiétante, je n’étais pas tranquille.

Des pas approchaient, se frayant un chemin dans les buissons, les étrangers reparurent. La fille pleurait maintenant, le garçon la soutenait en lui parlant tout bas. Nous les interpellâmes, cependant ils ne daignèrent pas nous accorder un regard. Ils remontaient l’Ariège.

La femme plus âgée, qui se tenait toujours en retrait de quelques pas, s’approcha de nôtre feu, elle frissonnait malgré la douceur de la nuit.

Nôtre association autour du foyer restait depuis d’interminables minutes silencieuse quand Yves demanda pour quelle raison la jeune fille pleurait, mais la femme parut étonnée que celle-ci eut versée des larmes. Guillaume lui demanda qui elle était, elle répondit en nous demandant si nous connaissions bien le village de Lacroix-Falgarde. Je répliquai que j’en étais natif. Elle appuya longuement son regard sur moi puis se présenta : «  Je suis Marie Laval ».

Des cris entremêlés percèrent alors la nuit, suivit d’un « plouf » tragique. Ces échos funestes semblaient venir du pont situé en amont. « Excusez-moi, mais je dois vous quitter » déclara madame Laval, avant de remonter à son tour la rivière.

Ces rencontres avaient semées le trouble dans nos esprits. Fabrice proposa de faire repartir le feu. Une bûche fût amenée, de l’essence versée adroitement.

Luc se tourna vers moi : « Tu la connais cette Marie Laval ?

-Non, répondis-je alors que le son d’un nouveau plongeon résonnait dans l’obscurité,  je ne l’ai pas connu mais j’en ai entendu parler » achevai-je.

Cette réponse brumeuse surprit mes compagnons qui ne me posèrent plus de questions. Ce manque de curiosité les préservait du désarroi dans lequel j’étais.

         Marie Laval était la mère de Christophe Laval. Ce dernier était amoureux fou de la belle Sandrine. Elle l’aimait en retour. Elle était orpheline. Madame Laval refusa le mariage à son fils. Le jeune couple sauta du pont, scellant leur amour dans la mort. On apprit que Sandrine était enceinte. Marie Laval, rongée de remord se suicida en sautant du même pont. On n’a jamais retrouvé leurs corps. Cette histoire datait de dix ans.

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 21:54 dans la rubrique "L'Abus de VodK nuit à L'Imagination".


Mercredi (21/01/04)

L'info du jour d'y a trois semaine
--> Couteau suisse

Durant les vacances j'ai reçu, en pleine gueule, un coup de telephone de Mylène.
Après les banalités d'usage: "Tu sais, Jérémie,..." et là, rapide comme l'éclair qui me pendait déja au nez je lui coupe l'herbe sous le pied: "Je viendrais pas ce week-end, je crois que çà marche plus trop fort entre nous depuis quelques temps..." elle:-"ah ben c'était justement ce que je voulais te dire (sans dec?!?)..." s'en suit les banalités d'adieu. Et voila comment un magnes préserve sa dignité.
donc voila nous avons cassé il y a plus de trois semaines, joyeuses fêtes: rupture à la bricolage genre coupure couteau suisse.
Sinon rien de neuf...ducoup je me suis remis à l'humour à la fernendel, comprenne qui pourra, et ils seront rares.
Et n'oubliez pas les dictons du jou:
-poule à une couille, source d'embrouilles.
et : -Pet retenu, furoncle au cul.

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 22:48 dans la rubrique "VRACodrome".



          Bulworth :-Il faut que tu sois un esprit, Bulworth, tu peut pas être un fantome, IL FAUT QUE TU SOIS UN ESPRIT!    IL FAUT QUE TU SOIS UN ESPRIT!!!     IL FAUT QUE TU SOIS UN ESPRIT!!!!     IL FAUT QUE TU SOIS UN ESPRIT!!!!!..........

          Fatton thib : -Pet retenu, furoncle au cul.
    

       -Poule à une couille, source d'embrouille.

 

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 21:20 dans la rubrique "Grandes Gueules".



Y commencer...


--> ...pour y finir

Je veux finir ma vie avant que d'être vieillard
je veux finir ma vie sans savoir ce qu'il advient
je veux finir entre une queue de billard
et la queue de mon chien

je veux finir entre des culs de filles
et le cul d'une bouteille
je veux finir entre un sourire de Lune
et les sourires des amis

je veux finir ma vie là où l'amour à commencé
je veux finir dans tes bras.

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 21:15 dans la rubrique "Les Rimes qui Riment à Rien".


Lundi (29/12/03)


           Ambrose Bierce : -Décalogue n. Ensemble de commandements, au nombre de dix__chiffre suffisant si l'on veut s'en tenir à une stricte observance, mais toutefois légèrement insuffisant si l'on préfère avoir l'embarras du choix. Voici l'édition révisée du Décalogue, strictement ajustée à ce méridien:

          Tu n'adoreras pas un autre Dieu que moi:             Cela revient trop cher d'en célébré plus d'un.

          Ne feras ni d'images ni de statues sacrées,           Car les marchands du temple ont l'exclusivité.

          N'utiliseras pas en vain le nom de Dieu,                Attends le bon moment où ça fait son effet.

          Tu ne travailleras pas la journée du sabbat,          Ce jour est consacré aux matchs de football.

          En bon fils garderas chez toi tes vieux parents;     Ca vient en déduction de ta déclaration.

          Jamais tu ne tueras, ni ne seras complice;            D'ailleur tu jetteras la facture du boucher.

          Tu n'embrasseras pas la femme de ton voisin,       Sauf si celle-ci a succombé à ses caresses.

          Tu ne voleras pas. Le vol est pernicieux;               La carambouille dans les affaires est bien plus sûre.

          Tu n'apporteras pas de faux témoignages;            Fais toi seulement l'échos des racontars publics.

          Enfin tu cesseras de convoiter en vain                 Ce que par bec et ongles tu n'as pu obtenir.

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 03:48 dans la rubrique "Grandes Gueules".


Lundi (22/12/03)

JOHN ET BADU
--> spécial dédicace

en relisant mon post précédant j'ai repenser à eux, john et badu. les deux cousins qu'ont leur palais place st michel et sous le pont d'empalot. ils ont pas eux la vie facile ces deux sdf. surtout que si y se sont retrouvé sdf c'est pas par hasard mais bien à cause du fisc. Surement des braves types qui dans d'autre cierconstences auraient étés des salariés moyens locataires et ptêt même proprio! bon père et bon mari, s'il en est.

mais non et tous les jours nous passons près d'eux sans les voir escorté par nos bonnes consciences de types intégré à l'idéologie imposée. quand je les rencontre que leur dire sinon les écouter et quand la soirée se finie, quand la bouteille est bue me voila chassant les images de leur pont de solitude, image éthilique de rêveurs désenchantés. nous oublions leur matelat de cartons pour nous fourrer dans un bon lit chaud. puis nous nous endormons sous la couette.

on se dit souvent qu'on ne peut rien faire pour eux, ou alors qu'on à déja donné. on essaie de se cacher toute cette misère. que pouvons nous faire? donner! c'est vôtre affaire. participer à une association active sur le terrain? voila un truc efficace mais il est peu de gens qui le font, et je fais partie des gens qui ne le font pas.

il faut pourtant penser que si on avait vecu leur vie dans les conditions où ils l'ont vecue nous en serions au même point, car tout sdf qu'il soit et tout propre et blanc que nous soyons, nous sommes les mêmes humains. Ainsi si un de ces quatre matins vous avez l'impression qu'on vous parle depuis un banc, regarder cette personne en face payez lui un café et écoutez la parler nul doute que ça lui fera du bien, et cela peut vous faire réflechir.

c'est bizare mais il faut bien le dire, désormé on parle de john et de badu sur internet!

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 01:27 dans la rubrique "VRACodrome".


Samedi (20/12/03)

Y commencer...
--> ...pour y finir

Je veux finir ma vie avant que d'être vieillard
je veux finir ma vie sans savoir ce qu'il advient
je veux finir entre une queue de billard
et la queue de mon chien

je veux finir entre des culs de filles
et le cul d'une bouteille
je veux finir entre un sourire de Lune
et les sourires des amis

je veux finir ma vie là où l'amour à commencé
je veux finir dans tes bras.

 

on va mettre çà sur le compte de la fatigue, ou alors on dira que c'est les vacances qui me developpent la fibre poètique. même pas çà rime de toutes les façons!


sinon hier soir le repas de classe c'était plustôt cool.enfin surtout l'heure de la pizza! et c'est vrai que j'avais rarement vue un gars totalement décabané se prendre pour le père noël et vouloir enc.ler ses rênes en plein resto italien. Sans ça encore un magnifique exemple de la connerie des Ts bourés, gâcher une soirée cool pour une histoire de cul à deux balles. Que la honte les etouffe!! mais cela ne me concerne malheureusement pas!
je tient à remercier de nouveau yannick, en effet si celui-ci ne m'avait hebergé j'aurais était bon pour encore coucher sous un pônt avec John et Badu, deux SDF, des compagnons de  goulots. des braves types qui ne dessoulles le matin que pour mieu attendre leur rouge du matin. j'espère qu'il ne passeront pas tout l'hiver dehors, les Cousins.
Enfin bref l'essencil est là: finalement nous voilà en vacances, et que faire? peut-être dormir! c'est une idée fixe décidément.

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 22:54 dans la rubrique "VRACodrome".


Dimanche (07/12/03)

pensée chelou du jour : ..
--> ...la vie est un assassinat

j'adore ma vie le dimanche soir! se tenir au courant des devoirs que j'aurait pas fais pour demain, faire le sac et puis attendre, attendre le sommeil, attendre le lundi jour du renouveau jour ou tout recommebce, les cours les profs l'ennui! finalement qu'est-ce que la vie? On s'emmerde toute la semaine en espèrant le week-end. et puis voila le week-end arrive et nous sommes trop fatigués pour en profiter: dormir! dormir jusqu'à midi puis manger une bricole, et meublé le temps pndant l'après-midi, envoyer des baballe au loin, puis avachi devant la télé ou oublié dans un bouquin. enfin dire des banalité à milène et à ses daron à travers un portable. puis faire un billard avec charles et fabrice, les derniers potes qui'existent, enfin squatter le PC et jouer aux cartes, jusqu'au lendemain. finalement on dort 5 heures, juste assez pour être crevé tout le dimanche.    Seul et déja on commence à se préparer mentalement au lundi, devoir cartable et peigne. enfin voila on attends lundi et on s'ennui.

finalement la vie est un assassinat: on tue le temps. on se crée des souvenirs bidons pour ne pas avoir l'impression d'avoir perdu nos vies, et on se félicite de ne pas se souvenir de tout ces moment d'ennuie.

la vrai questions ce n'est pas que suis-je, d'où viens-je, où vais-je? mais comment vais-je m'en tirer?

bon j'me prends grave la tête là, j'vais plutôt tuer mon temps sur un site de boules lol !o! lol

quoi qui faut pas abuser!!!

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 22:24 dans la rubrique "VRACodrome".


Samedi (06/12/03)


          Gladiator: "J'ai connu un homme qui a dit :"la mort nous sourit à tous, tous ce qu'on peut faire c'est sourire à la mort.""

          Ambrose Bierce: naissance n. Le premier et le plus terrible de tous les malheurs. La naissance, à ce qu'il semblerait, ne se manifeste pas toujours de la même manière. Castor et Pollux naquirent d'un oeuf. Pallas sortit d'un crâne. Galata fut au départ un bloc de pierre. Perelesis, qui écrivit au Xème siecle, affirme qu'il sortit de la terre à l'endroit où un prêtre avait renversé de l'eau bénite. Il est bien connu qu'Aximaxus remonta d'un trou creusé dans le sol par la foudre. Leucomedon était le fils d'une caverne du mont Etna, et j'ai vu personnellement un homme sortir d'une cave à vin.

          Christophe Alêveque: De toute façon pour les capotes y'a pas 36 solutions; si vous ètes croyant c'est interdit, et si vous étes pratiquant, c'est recomendé!

Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Ecrit par Magnes, a 01:14 dans la rubrique "Grandes Gueules".


Articles suivants
C'est loin les vacances?
Mai 2004
LunMarMerJeuVenSamDim
     12
3456789
10111213141516
17181920212223
24252627282930
31      
Et c'est pas tout...
> VRACodrome
> Grandes Gueules
> Les Rimes qui Riment à Rien
> L'Abus de VodK nuit à L'Imagination
Trucs conseillés...
> Ici">Comptoir de Discussions
> Le point de vue du poisson
> Zerotom: Sof
> Chelou: Gerald
> Le dictionaire impertinant
Identifiez-vous...
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

Racontez n'importe quoi, et surtout n'importe quoi
> Biz : Bienvenue sur Niutopia Magnes !

Réagir :
Nom
Adresse web
Un de plus!